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samedi 16 mai 2015

Chronique : Nous les menteurs d'E. Lockhart


Nous les menteurs d’E. Lockhart. (Genre : Contemporain).

Editions : Gallimard Jeunesse
Prix : 14,50€ (Partenariat)
Année de parution française : 2015 (Sortie le 4 mai)
Année de parution originale : 2014
Titre version originale : We were liars.

  .Résumé : Une famille belle et distinguée. Une île privée. Une fille brillante, blessée ; un garçon passionné, engagé. Un groupe de quatre adolescents – les Menteurs – dont l’amitié sera destructrice. Une révolution. Un accident. Un secret. Mensonges sur mensonges. Le grand amour. La vérité.


  .Livre repéré en VO. Livre qui me tentait par tous les avis positifs qu’il a pu avoir. Que ce soit en anglais ou depuis sa version française, les chroniques étaient unanimes. C’est un livre qui aurait du me retourner le cerveau, avec une fin de dingue, qu’on ne voit pas venir. Une histoire de mensonges, de secrets, de famille parfaite et d’une histoire d’amour… La couverture, identique à la VO est très originale. Elle me plaît. Le résumé lui, tenteur au plus au point ! Je dois vous dire que je suis affreusement déçu par cette histoire. Si je reconnais le talent d’E. Lockhart dans son style… l’intrigue m’a beaucoup moins convaincu.

  .J’ai d’abord eu du mal au début avec toute la flopée de personnes que met en scène l’auteure… On va faire la rencontre d’une famille. Une famille qui tous les étés se réunit sur l’île de Beechwood, dont le grand-père est le propriétaire. Les trois filles du propriétaire ainsi que ses petits enfants vont entrer dans l’histoire. C’est au final pas moins de 12 personnages qu’on nous présente. Je me suis sans cesse référé à l’arbre généalogique présent. Sinon j’aurai été perdu ! Petit à petit, on se focalise autour de 4 personnages : Cadence, Johnny, Mirren et Gat. Un début difficile mais après les trente premières pages je m’y suis fait, et je suis rentré dans l’histoire.

 .Justement, parlons des personnages. Vu qu’il y en a beaucoup, je vais me concentrer essentiellement sur les 4 principaux. A commencer par Cadence, notre narratrice. C’est une jeune fille qui m’a plu, mais elle n’est pas extraordinaire. J’ai été touché par son vécu et par son accident. Cependant, elle est trop influençable et avec moi, ça ne le fait pas. Elle s’accroche à des choses inutiles, à son histoire d’amour avec Gat qui n’a pas de sens. Elle m’a parfois énervé dans ses réflexions et dans ses actes. C’est une personne qui n’est pas assez travaillé pour moi. J’aurai aimé en apprendre plus, beaucoup plus sur elle. Si Cadence n’est déjà pas assez creusé, vous imaginez que c’est pareil pour les autres. Seul Gat m’a interpellé dans son côté rebelle et franc. Des personnages intéressants qui manquent cependant de profondeur. Je reconnais cependant que l’alchimie entre les 4 est parfaite.

  .Le rythme lui est bon. Les chapitres sont très courts, l’histoire se met vite en place, tout comme l’intrigue d’ailleurs. Je crois que si ce rythme n’avait pas été là, j’aurai abandonné ma lecture. C’est aussi la curiosité qui m’a permis de tenir. Si l’intrigue se met en place rapidement, j’ai trouvé l’histoire excessivement longue. Elle s’étire trop tout au long du livre. On n’a aucune révélation avant la dernière partie… 30 pages avant la fin. Je mentirai si je disais que j’avais passé un bon moment, je me suis ennuyé. Comme je l’ai dit, seule la curiosité a fait que j’avançais.

  .Le concept du livre est original et j’admets qu’il est excellent. Mais ce sont les choix de l’auteure que je n’ai pas apprécié. C’est ce qui a rendu ma lecture longue et semée d’embûches. Je ne m’attendais vraiment pas à lire ce genre d’histoire. Je croyais commencer un bouquin totalement différent. Ce qui m’a plu, c’est que chacun cache qui il est vraiment. Chacun cache sa part de monstruosité, sa part de négatif. Tout est noir autour de Cadence et à cause d’elle, on ne s’en rend pas compte assez vite. C’est vraiment dommage parce que l’idée était là.

  .Le style de l’auteure m’a plu. Elle utilise des phrases courtes pour vraiment que le lecteur se sente oppressé par les sentiments et par les réflexions de ses personnages. Elle a un style incisif, percutant et juste. C’est la fin qui m’a le plus abasourdi. Je m’attendais à un truc phénoménal, à un retournement de situation de dingue. Certes, je n’ai rien vu venir mais le gros de l’histoire se trouve dans les 30 dernières pages et ça m’a fortement gêné. Je ne dis pas que j’aurai fait mieux si j’avais écrit le livre. Sincèrement, je suis frustré de ne pas avoir autant apprécié ce livre. Je pense que j’ai été totalement à côté et c’est fort possible. Mon avis est sincère et franc, mais si vous voulez le lire, n’oubliez pas que de nombreux blogueurs ont adoré cette histoire de mensonges.

.Ma note : 6,5/10.

Merci aux éditions Gallimard Jeunesse pour ce partenariat !

vendredi 15 mai 2015

Chronique : Oniria - Livre 2 : Le disparu d'Oza-Gora de B.F. Parry


Oniria – Livre 2 : Le disparu d’Oza-Gora de B.F. Parry. (Genre : Jeunesse, Fantastique).

Editions : Hachette
Prix : 16,50€ (Partenariat)
Année de parution originale : 2015 (Sortie le 1er avril)

  .Résumé : Eliott, accompagné de ses fidèles amis Farjo et Katsia, a atteint le merveilleux royaume d’Oza-Gora, où il va enfin pouvoir rencontrer le Marchand de Sable. Ce dernier est en effet le seul qui puisse libérer le père d’Eliott du songe mortel dont il est prisonnier depuis des mois.


  .L’univers d’ « Oniria » m’avait totalement séduit dans le premier tome. Des rêves, des cauchemars, un monde imaginaire où les humains se rendent lorsqu’ils s’endorment. J’avais hâte de lire ce deuxième opus pour en apprendre plus sur la quête d’Eliott. Autant vous dire que la couverture est toujours sublime. Un très beau travail a été effectué et elle ne manquera pas d’attirer ! Le résumé que je vous ai délivré a été raccourci volontairement, j’ai trouvé que la 4ème en dévoilait trop. Même si le livre souffre de bémols mineurs, j’ai passé un excellent moment de lecture.

  .Au début, j’ai eu un peu de mal à me replonger dans ce monde onirique. J’avais quelques trous de mémoires temporaires. Je n’arrivais pas à retrouver ce qui m’avait tant passionné dans le tome 1. Il a fallu cependant que je m’y mette vraiment pour dévorer ce bouquin. Après les 60 premières pages, j’ai réussi à m’immiscer dans l’histoire et à y rester. Pour devenir complètement accro à ce deuxième tome. Et franchement, je trouve qu’on apprend beaucoup de choses.

  .Eliott m’a encore beaucoup plu dans cette histoire. Il a à peine 11 ans mais qu’est-ce qu’il est mature pour un gamin. Je vous jure qu’il y a parfois des personnages de 17-18 ans qui sont moins mature que lui. Je l’ai trouvé très timoré dans ses fonctions. D’un côté il a envie d’aider son père, la princesse Aanor et le monde d’Oniria. Mais de l’autre, il se sent mal à l’aise de mentir à ses sœurs jumelles. C’est un jeune homme qui arrive à garder les pieds sur terre malgré ce monde complexe et incroyable. B.F. Parry réussi à nous le rendre attachant. Vient ensuite Farjo et Katsia, la princesse Aanor, Mamilou ou encore Jov’. Chacun amène sa petite pierre à l’édifice, chacun fait confiance à Eliott. Les personnages sont un tout dans cette série. Un tout bien mené et ficelé pour que l’intrigue ne puisse pas s’essouffler.

  .Comme je le disais plus haut, les 60 premières pages m’ont paru lentes, mais il fallait que je me réhabitue à l’univers. Il faut dire aussi que les chapitres au début sont assez longs. Et puis je ne sais pas, les chapitres sont devenus un peu plus court, l’histoire plus passionnante. On apprend véritablement un paquet de choses au court de l’intrigue. Les révélations vont bon train et on est sincèrement avide de curiosité. On veut savoir avec précision comment se passe telle ou telle chose. Pourquoi untel pense ça ou pourquoi il agit comme cela. L’aventure fait véritablement partie de l’histoire.

  .L’univers est ce qui m’a le plus plu. Déjà, on apprend à connaître le monde d’Oza-Gora qu’on ne connaissait pas encore. J’ai adoré découvrir comment les humains s’endormaient et surtout grâce à quoi. J’ai adoré l’apparition du Marchand de Sable. Surtout, j’ai aimé de tout mon cœur en apprendre plus sur les capacités d’Eliott. Je crois que la petite séance entraînement avec une certaine personne m’a permis de me mettre à sa place. L’auteure alterne aussi les points de vue dans cet univers. Ainsi sa plume à la troisième personne amène une véritable richesse au récit. Aucun personnage n’est mis sur la touche.

  .Ce que je pourrais reprocher à l’auteure, c’est qu’on n’avance pas des masses dans l’histoire. Si je ne dis pas de bêtises, 4 tomes sont prévus. Et ce tome 2 est un tome de transition. On fait des découvertes, on avance dans l’intrigue mais pas assez à mon goût. Le point intéressant c’est qu’on est dans l’aventure avec nos héros. Ils ne cessent de bouger et de découvrir des faits importants pour leur quête. Beaucoup d’actions au cœur du roman. J’ai véritablement était stressé avec eux, content, déçu. J’ai même réussi à avoir les frissons plusieurs fois tellement j’ai été happé par l’histoire.

  .La plume de B.F. Parry n’est pas exceptionnelle mais elle a le mérite de nous permettre d’imaginer les lieux créés. Et puis les images au cœur du bouquin permettent au lecteur de s’imaginer plus facilement l’univers incroyable. Et franchement chapeau pour ça, parce que pour s’y retrouver… ça ne doit pas être simple. La fin m’a beaucoup plu et j’ai hâte de découvrir la suite qui s’annonce pleine d’actions. Si vous n’avez pas encore découvert cette série foncez ! Un univers incroyablement riche, des personnages attachants. De l’action, des révélations et une intrigue qui permet au lecteur d’être pris dans l’histoire sans en décrocher.

.Ma note : 8/10.

Merci à Betty et aux éditions Hachette pour ce partenariat !

jeudi 14 mai 2015

Chronique : La Sélection - Histoires secrètes : Le Prince et le Garde de Kiera Cass


La Sélection – Histoires secrètes : Le Prince et le Garde de Kiera Cass. (Genre : Jeunesse, Dystopie).

Editions : Robert Laffont
Prix : 12,90€
Année de parution française : 2014
Année de parution originale : 2014
Titre version originale : The selection stories : The Prince and the Guard.

  .Résumé : Avant qu’America n’arrive au Palais pour la Sélection, il y avait déjà une fille dans la vie de Maxon. La nouvelle « Le Prince » s’ouvre sur la semaine précédant l’arrivée des trente-cinq candidates et suit Maxon lors de la première journée de compétition.
Elevé en tant que Six, Aspen Leger n’aurait jamais imaginé intégrer un jour la très réputée Garde royale affectée au Palais. A travers le quotidien d’Aspen, la nouvelle « Le Garde » lève le voile sur cet univers très fermé auquel America n’aura jamais accès…


  .Comment passer à côté de ces deux nouvelles sur les prétendants d’America. Avec Momoko du blog Mo comme Mordue, on a donc décidé de s’attaquer au Prince et au Garde. On avait déjà lu la nouvelle sur Maxon mais ici, trois chapitres supplémentaires sont ajoutés. Ils permettent de voir Maxon un peu plus près des candidates. Et surtout on voit qu’il a vraiment du mal à éliminer ses prétendantes… C’est un jeune homme qui a le cœur sur la main, très différents de son père. En tout cas, si vous voulez lire ma chronique que j’avais écrite à l’époque, c’est ICI. L’ensemble résume bien la nouvelle ainsi que les chapitres supplémentaires.

  .La couverture réalisée est très sympathique. Elle montre qu’America est au centre de toutes les préoccupations. Que ce soient celles de Maxon ou celles d’Aspen. Et avoir leur point de vue a été très bénéfique pour mieux les comprendre. Surtout pour mieux appréhender Aspen. C’est un personnage que je n’ai pas vraiment apprécié tout au long de la trilogie. Je l’avais trouvé hautain, nombriliste et égoïste. Il ne pensait qu’à son histoire avec America et pas aux conséquences de ses réflexions. Mais la nouvelle le concernant m’aura en partie, fait changer d’avis.

  .Le fait est qu’Aspen n’a jamais oublié son histoire avec America. Si dans le tome 1, il l’a poussé à participer à la Sélection, à l’heure d’aujourd’hui il s’en mord les doigts. De ce fait, il ne cesse de chercher America grâce à son poste de Garde. Je l’ai trouvé dans un sens très touchant. Il essaie de se raccrocher à de petits signes pour espérer la reconquérir. Et puis, on sent qu’il n’est pas si égoïste que ça. Il pense notamment à sa famille nombreuse à qui il envoie de l’argent tous les mois. Aspen est quelqu’un de bien, je peux vous l’assurer. Mais son attitude durant la Sélection ne m’a pas convaincu, c’est tout. En tout cas, c’est une nouvelle qui nous permet de mieux le connaître. Elle sert vraiment à quelque chose.

 .L’écriture de Kiera Cass est toujours aussi addicitive. En un peu plus d’une heure, les deux nouvelles ont été avalées. C’est dire si les pages se tournent facilement. Le rythme y est, on est bien dans l’histoire… enfin à des moments précis de l’histoire qui nous permettent de mieux entrapercevoir les personnages. Je crois que l’auteure a bien choisi ses moments pour nous les révéler d’une autre manière. Et c’est le meilleur. Je dois aussi dire qu’elle a une imagination de dingue. Les arbres généalogiques de presque tout le monde sont présents. Je ne sais pas comment elle a fait pour s’y repérer, mais chapeau !

  .Ces petites nouvelles sont courtes et addictives. Elles nous en apprennent plus sur Maxon et Aspen. Si pour un j’ai été conforté dans ma vision de son caractère et de sa façon d’être ; pour l’autre j’ai changé mon fusil d’épaule en l’appréciant peut-être un peu davantage. En tout cas, c’est un bonus agréable et très prenant !

.Ma note : 8/10.

La chronique de Momoko pour cette lecture commune : ICI.

mercredi 13 mai 2015

*Vidéo* : Mon Carnet Livresque #39


Salut la compagnie !

Voilà une nouvelle vidéo sur la chaîne :) Il s'agit d'un "Mon Carnet Livresque" pour faire le point sur mes lectures passées ! Au programme 5 lectures à vous présenter... et il y en a de très bonnes :D J'espère que j'arriverais à vous tenter ! Bon visionnage ;)

Enjoy <3

Mes lectures passées :
   
 

dimanche 10 mai 2015

Chronique : Dix minutes par jour de Chiara Gamberale


Dix minutes par jour de Chiara Gamberale. (Genre : Contemporain).

Editions : Michel Lafon
Prix : 16,95€ (Partenariat)
Année de parution française : 2015
Année de parution originale : 2013
Titre version originale : Per dieci minuti.

  .Résumé : Chiara, la trentaine pétillante, a tout pour être heureuse : un mari parfait, une chronique qu’elle adore dans un hebdo branché, plusieurs best-sellers à son actif. Bref, une vie de rêve jusqu’au jour où… elle perd tout : adieu mari (volage et immature), chronique, romans et certitudes. Pour l’aider à remonter la pente et à sortir de ses idées noires, sa psy lui propose un petit jeu : chaque jour pendant un mois, elle devra faire, dix minutes durant, quelque chose d’anodin ou d’un peu fou… Entourée de sa bande d’amis, Chiara accepte de relever le défi et de consigner l’expérience dans un journal. Et si une nouvelle vie surgissait de ce grand saut dans l’inconnu ?


  .Ce roman me tentait de par sa couverture totalement colorée. Et aussi par son résumé que j’avais juste regardé vite fait ! Je savais que le personnage principal allait devoir faire pendant dix minutes, quelque chose de nouveau. Pas plus… et je m’attendais pour être sincère, à lire une autre histoire. Au final, je ne regrette pas d’avoir lu ce bouquin. Il est une belle surprise, comme les sont les livres des éditions Michel Lafon en général. Une très bonne lecture !

  .Comme je vous l’ai dit, je ne pensais pas lire ce genre de bouquin. J’ai d’abord été étonné par le style et par l’agencement du roman. De part l’histoire qu’on allait me raconter. Pour tout vous dire, ça m’a paru extrêmement fou et décalé. Mais ce sont ces points là qui par la suite m’ont plu. Ils m’ont permis de plus m’immerger dans l’histoire de Chiara, qui je pense est aussi l’auteure du roman ^^ Son histoire à elle, personnelle, sensible et sentimentale.

  .Parlons justement de Chiara. C’est une femme de tout ce qu’il y a de plus banal. Elle consulte un psychologue après la malchance qui s’abat dans sa vie. Son mari est parti, sa chronique dans un journal a été remplacée et l’écriture de son nouveau bouquin est au point mort. Je l’ai senti s’épanouir de jour en jour à travers ces dix minutes quotidiennes. Comme si c’était une petite fleur qui s’ouvrait petit à petit pour éclore. Du début où elle est renfermée sur elle-même, elle arrive à regarder à travers son malheur et à relativiser. Elle s’ouvre au monde, à ses amis, à sa famille, aux personnes de son quartier. C’est juste une évolution remarquable. Vient ensuite d’autres personnages qui vont permettre son évolution. La relation qu’elle entretient désormais avec sa maman m’a juste fait fondre. De bons personnages mais j’aurai aimé cependant qu’ils soient plus exploités. On ne connait presque rien de son passé, de ses souvenirs et de ses proches. C’est fort dommage.

  .Le rythme est prenant sans aucun doute. Les chapitres sont extrêmement courts. Un chapitre, un jour, une nouvelle série de dix minutes. On est curieux de connaître ce qu’elle va faire à chaque fois. Si ce sont des défis banals ou au contraire quelque chose de plus loufoque ou compliqué. Beaucoup de dialogues permettent de fluidifier encore plus le roman. L’intrigue est bien menée, une reconstruction de soi-même assurée d’un bout à l’autre. Une intrigue simple mais qui marche par l’envie qu’on a d’aider Chiara.

  .L’histoire en elle-même m’a paru cependant répétitive. On revient toujours aux mêmes points, comme si Chiara se plaignait tout le temps des mêmes choses. Surtout de son mari d’ailleurs. Après je peux comprendre l’auteure, c’est ce qui la perturbe essentiellement. Je ne dis pas qu’on fait du sur place, loin de là. Mais le roman aurait gagné en profondeur et en oxygène si on était moins centré sur les mêmes problèmes. Heureusement que les personnages secondaires permettent de s’écarter de cette spirale. Et puis je ne sais pas, la traduction m’a parfois semblé fouillis à des endroits. Il y a des phrases que j’ai du relire 2-3 fois pour comprendre ce que cela voulait dire.

  .L’écriture de Chiara Gamberale n’est pas exceptionnelle. Elle fait des phrases parfois longues, parfois courtes. Mais on s’y retrouve, c’est simple mais efficace comme j’ai coutume de dire. Au final, on passe un bon moment de lecture. Chiara pourrait être vous… ou vous, une personne totalement normale. La fin donne au bouquin un petit message d’espoir excellent qui permet d’insuffler au roman une note positive en plus. Si vous êtes intrigués, n’hésitez pas ! Vous serez tout bonnement surpris par cette histoire.

.Ma note : 8/10.

Merci à Camille et aux éditions Michel Lafon pour ce partenariat !

*Vidéo* : In My Mailbox #26


Salut les amis !

Aujourd'hui, je reviens en vidéo avec l'IMM du mois d'avril 2015... Il était temps vous ne trouvez pas ? ^^ En tout cas de belles réceptions qu'il me tarde de lire :D En prime, trois livres VO hihi ! Et oui je me motive à reprendre !! Bon visionnage :)

Enjoy <3

Le livre prêté par mon binôme :

Les partenariats :
   
 

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