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mercredi 2 novembre 2016

Chronique : Silver - Livre 3 de Kerstin Gier


Silver – Livre 3 de Kerstin Gier.
(Genre : Jeunesse, Fantastique).

Editions : Milan
Prix : 15,90€ (Partenariat)
Date de parution française : 21 septembre 2016
Année de parution originale : 2015
Titre version originale : Silber, Band 3 : Das dritte Buch der Träume.

  Résumé : Liv a l’impression que ses problèmes ne finiront jamais : remariage de sa mère, complexe d’infériorité, ragots du collège attisés par la mystérieuse blogueuse Secrecy, et fierté blessée par son ex-petit ami Henry. Sans parler des couloirs du rêve et du dangereux Arthur, qui manipule les gens pendant leur sommeil pour les faire agir à sa guise. Et si le Seigneur des ombres et des ténèbres existait pour de vrai ? Il y a des jours où l’on préfèrerait cauchemarder plutôt que d’affronter la réalité.


  La trilogie « Silver » est destinée aux adolescents de 15 ans. Pourtant je n’ai eu aucun mal à l’apprécier. Le tome 1 a été un coup de cœur, le tome 2 une excellente lecture… et le tome 3 reste dans la même veine. Je regrette juste que les éditions Milan n’aient pas choisi une autre ligne éditoriale pour cette série. Les visages ne rendent pas justice aux personnages et encore moins à l’histoire. Au final, même si la série possède quelques défauts (ce tome 3 ne fait pas exception), j’ai passé un très bon moment !

  Kerstin Gier arrive toujours à attirer son lecteur dès les premières pages. Entre rêve et réalité, on peut parfois s’y perdre… surtout en début de chapitre et je trouve que ce côté déstabilisant est un plus pour l’histoire. On est toujours avec Liv et sa sœur Mia, tout comme avec Grayson et Henry. L’auteure fait des rappels sur les tomes précédents et c’est intelligent. L’intrigue de cet ultime volet est en partie liée à celle du tome 2 tout en se renouvelant. Cela permet ainsi au lecteur d’y trouver son compte.

  Les personnages sont tous intéressants à suivre. Notre protagoniste Liv est parfois assez énervante tant elle est indécise. On a envie de la secouer et de lui dire de faire des choix une bonne fois pour toute. J’admire cependant l’auteure par sa capacité à mettre Liv dans des situations assez cocasses et drôles. C’est un personnage haut en couleurs que le lecteur ne regrettera pas de suivre… tout comme sa sœur Mia d’ailleurs. Elle restera toujours mon personnage préférée. Une petite détective en herbe, super maline et intelligente. J’aurais adoré avoir une sœur comme elle ! Il y a également d’autres personnages comme Grayson, Henry, Annabelle, Arthur et les membres de la famille de Liv. Chacun apporte sa petite pierre à l’édifice et chacun permet à l’histoire d’être ce qu’elle est : originale, addictive et so british.

  La lecture est prenante malgré les quelques longueurs qu’il peut y avoir dans l’intrigue. L’auteure fait quelques divagations. On aimerait qu’elle se concentre davantage sur les problèmes liés au monde des rêves que sur les difficultés amoureuses de Liv. A part ce petit souci, le récit se lit avec une grande facilité, les chapitres ne sont pas très longs. Ajoutez aussi que les personnages sont toujours en mouvement : que ce soit physique ou psychique. Les réflexions se font denses dans l’enquête tissée par l’auteure. Au final on se prend au jeu avec grand plaisir.

  Dans la série « Silver », ce qui m’a toujours intéressé c’est l’univers mis en place. Le monde des rêves m’a toujours fasciné et c’est encore d’actualité. J’adore ce que Kerstin Gier a fait de ses idées. Des règles qu’elle a pu établir, tout comme des interdits. De la façon dont elle a fait progresser ses personnages au sein de ce fameux couloir. Des larges possibilités que le lecteur apprend au fur et à mesure et je suis sûr… qu’on ne connaît pas encore tous les secrets. Peut-être aurait-il fallu plus de passages dans les rêves (je sais je tatillonne). Mais rien que pour le thème, je signe à nouveau sans hésitation.

  Le style de l’auteure n’est pas exceptionnel. Il est fluide, les phrases sont bien construites et les ados peuvent facilement tout comprendre. Ce qui est tout de même intéressant c’est la capacité que possède Kerstin Gier à nous faire imaginer son histoire. Des rêves incroyables plein de couleurs aux senteurs des gâteaux faits par Lottie (la nounou de Liv et Mia). Et rien que pour ça, c’est un pur délice. La fin m’a beaucoup plu et m’a aussi surpris ! Bien entendu, je vous recommande de lire « Silver ». Une trilogie que j’ai adoré découvrir et avec laquelle je n’ai pas été déçu !

Ma note : 8/10.

Merci à Elodie et aux éditions Milan pour ce partenariat !

vendredi 1 juillet 2016

Chronique : Silver - Livre 2 de Kerstin Gier


Silver – Livre 2 de Kerstin Gier.
(Genre : Jeunesse, Fantastique).

Editions : Milan
Prix : 15,20€ (Partenariat)
Date de parution française : 16 mars 2016
Année de parution originale : 2015
Titre version originale : Silber, Band 2 : Das sweite Buch der Träume.

  Résumé : La vie de Liv n’est pas de tout repos : aux prises avec une famille recomposée au bord de l’explosion, elle doit protéger sa sœur, frappée d’étranges crises de somnambulisme. Sans compter que Secrecy, la mystérieuse blogueuse du lycée, se met à dévoiler ses secrets les plus intimes ! Et si tout cela avait un lien avec la sombre présence qui hante ses nuits ?


  Avec mon coup de cœur sur le tome 1 (Mon avis), il m’était impossible de passer à côté de cette suite. L’univers était top, les personnages intéressants et l’humour au rendez-vous. Un savamment mélange dont l’alchimie avait totalement opéré sur moi. Après… il est vrai que la couverture de ce tome 2 est encore plus horrible que le 1er tome. Un Photoshop raté qui fait très amateur sans vouloir offenser. Quand on a en tête les couvertures américaines ou mêmes allemandes (VO)… on se dit que Milan est passé à côté. En tout cas j’ai passé avec ce tome 2 un excellent moment !

  Dès le début on replonge dans l’univers des rêves. On se rend compte au fil du récit que des choses anormales se passent. Du coup on est curieux de découvrir la suite et d’avancer dans l’histoire. L’auteure fait des rappels ingénieux et le glossaire des personnages aide à se remettre les idées en place. Je ne savais pas du tout où Kerstin Gier voulait partir et je me suis laissé porter par le récit. Chose appréciable quand on veut être surpris.

La couverture du tome 1 en Allemagne et aux USA :
 

  Les personnages sont toujours autant sympathiques à suivre. J’adore Liv et sa petite sœur Mia. Leur complicité et leur entre-aide sont touchantes dans la relation qu’elles entretiennent. Liv évolue beaucoup dans ce tome, notamment dans le volet fantastique du livre. C’est une fille qui suit son instinct, prête à tout pour découvrir la vérité… et les neurones chauffent, je vous le dit. Mia et son côté Sherlock Holmes me plaît toujours autant. C’est une fonceuse et malgré ses 13 ans elle est très mature. Vient ensuite Henri, Grayson, Lottie, Ann, Florence, Arthur et Anabel. Des personnages qui insufflent au roman de la dynamique et des découvertes. Chacun apporte quelque chose à l’intrigue. Que ce soit dans le volet familial, amical ou encore onirique.

  Le rythme est vraiment excellent. Les chapitres sont courts, beaucoup de dialogues et l’auteure alterne entre monde réelle et monde des rêves. Ajoutez à cela une intrigue qui se développe en arrière plan… on ne peut être que charmé. Pourtant cette intrigue aurait dû être mise au 1er plan. C’est peut-être le gros défaut du livre. On ne voit se dessiner les dangers qu’assez tard dans le livre. Cela aurait été mieux de l’amener dans les 100 premières pages. Parce qu’une fois dans l’intrigue on se pose beaucoup de questions… et grâce à Liv et Mia, on devient à notre tour des Sherlock Holmes.

La couverture du tome 2 en Allemagne et aux USA :
 

 L’univers est toujours autant intéressant. Le lecteur apprend de nouvelles choses. On prend conscience que les possibilités sont encore plus larges que dans le tome 1. Ces portes, ces couloirs, ces règles et ces mystères… c’est original. L’incidence des rêves sur la réalité prend une place plus importante et avoir développer cet aspect c’est top ! Après la romance passe mais ce n’est pas ce qui est plus passionnant. J’ai davantage préféré le côté famille avec ses difficultés. En tout cas l’auteure apporte quelques révélations et retournements de situation bien amenés.

  La plume de Kerstin Gier est agréable à lire. Très fluide, hyper accessible pour un public jeune. Le monde des rêves est très imagée et on se rend compte à quel point l’auteure possède une forte inventivité. La fin est très addictive, on se prend une bombe en pleine face et… l’épilogue apporte un petit twist sympa. J’espère que l’auteure va garder cette bonne dynamique pour son tome 3 parce que c’est vraiment une super série. Dommage qu’il n’y ait pas plus eu d’humour dans le tome 2. En tout cas si vous n’avez pas lu le tome 1, foncez ! Vous ne serez pas déçus… sauf pour la couverture lol ! Pitié que Milan fasse quelque chose !

Ma note : 8/10.

Merci à Elodie et aux éditions Milan pour ce partenariat !

lundi 11 janvier 2016

Chronique : Dreamology de Lucy Keating


Dremology de Lucy Keating.
(Genre : Jeunesse).

Editions : Michel Lafon
Prix : 15,95€ (Partenariat)
Date de parution française : 11 février 2016
Année de parution originale : 2015
Titre version originale : Dreamology

  Résumé : Depuis son enfance, Alice mène une double vie. La vie réelle, où elle habite seule avec son père… et sa vie en rêves ! Toutes ses nuits sont peuplées d’aventures extraordinaires, de voyages, de rencontres, et surtout d’un garçon de son âge : Max. au fil des années, elle est tombée amoureuse de lui et ne pense qu’à se coucher le soir pour le retrouver. Mais le jour de sa rentrée au lycée, Alice voit Max. En chair et en os. Le garçon de ses nuits existerait-il vraiment ?


  J’ai eu la chance d’avoir ce livre lors du salon du livre de Montreuil. « Dremology » a été le cadeau que nous ont fait les éditions Michel Lafon. Je vous avoue qu’au départ, je n’ai pas été tenté par cette sortie. Et puis on nous a parlé de l’histoire et je dois dire que j’ai été intrigué. Je voulais moi aussi savoir pourquoi on nous l’avait sélectionné. J’ai lu ce livre en lecture commune avec Justine de Lire-une-passion (son blog). La couverture est sympathique mais je préfère largement la couverture originale. En lisant le résumé, je m’attendais à une romance gnangnan mais au final c’est un peu plus poussé. Au final j’ai passé un agréable moment.

  Dès le début Lucy Keating immerge son lecteur dans un rêve que fait Alice, le protagoniste. On se retrouve donc embarqué dans ses songes toujours un peu loufoques. Elle est accompagnée de Max, le garçon de qui elle rêve depuis sa plus tendre enfance. Quand elle se réveille, on retrouve Alice en voiture avec son père, en train de déménager pour Boston. Très vite le lecteur va savoir pourquoi elle se rend dans cette ville ? Pourquoi seulement avec son père et son chien ? On a hâte d’arriver au moment où elle va rencontrer Max au lycée. Et ce qui est bien, c’est que le résumé ne représente qu’une petite cinquantaine de pages. Ainsi, on a le plaisir de lire l’histoire et de se laisser guider par la tournure qu’elle prend.

  Alice est un personnage qui m’a bien plu. Je pourrais même dire que je me suis attaché à elle malgré son côté tête en l’air. Parfois elle est excessivement maladroite et c’est ce qui rend cette jeune fille hilarante. Un vrai casse-cou, un vrai sketch à elle toute seule. Ce que j’ai par contre détesté chez elle c’est sa façon de croire que Max lui appartient… je ne dirai rien de plus. Sinon j’ai trouvé qu’Alice était un personnage bien travaillé. J’aurai peut-être aimé qu’on en apprenne plus sur sa relation avec son père. Ou alors que l’auteure développe davantage ses souvenirs avec sa mère. Alice est un personnage drôle, rafraîchissant, sincère et intelligent. Quant à Max, je ne dirai pas que je me suis attaché à lui. Je crois que je me suis plus attaché à Oliver (le comique de l’histoire). Max est un jeune homme indécis, qui fait trois pas en avant et 2 pas en arrière. D’un côté, ça rend sa relation avec Alice plus compliquée. Mais d’un autre, j’ai trouvé ça énervant. Des personnages qu’on aime ou qu’on déteste, à votre tour de vous faire votre opinion.

  J’ai beaucoup aimé le rythme même si les 80 dernières pages traînent en longueur pour moi. Pour le côté positif, j’ai aimé l’alternance des chapitres avec les rêves que fait Alice. Le lecteur rêve avec elle et prend conscience de son attachement envers Max. De la fluidité est amenée par les chapitres assez courts au long du récit. Le rythme est renforcé par un perpétuel jeu du chat et de la souris entre nos protagonistes. Le côté négatif c’est qu’on met un peu de temps à avoir la révélation. Du coup Lucy Keating fait traîner la relation entre Max et Alice sans vraiment savoir où elle va. J’ai trouvé cette construction un peu brouillonne par moment.

  L’univers abordé par l’auteure est très intéressant. On parle des rêves mais pas que, elle insère tout un mécanisme scientifique. Je vous rassure ce n’est pas expliqué en détail. Mais cela permet au lecteur de se rendre compte du travail fourni pour avoir une vraie cohérence dans l’intrigue. D’ailleurs j’ai trouvé que l’univers noué avec l’intrigue faisaient un beau mélange. C’est mignon et attendrissant. Le lecteur est curieux de voir l’imagination de l’auteure pour la fabrication des rêves. Et bon dieu qu’elle en a. Ajoutez à cela l’humour d’Oliver avec le côté main gauche d’Alice… ça donne une lecture légère.

  L’écriture de l’auteure est sympathique. Simple et efficace dans ce genre de récit. Cependant on arrive bien à imaginer les rêves, tout comme la réalité qu’Alice décrit. Lucy Keating permet au lecteur d’être immergé par les descriptions. Du coup on rêve un peu nous aussi. Je regrette seulement que la fin soit réglée en deux temps trois mouvements. On arrive à un point critique pour Alice et Alex et hop, l’auteure sans explication, règle les choses. Dommage que ce côté ne soit pas plus approfondi. Sinon la toute fin est mignonne et laisse le lecteur avec un beau sourire aux lèvres. « Dremology » sort le 11 février. C’est une lecture simple, sans prise de tête et qui fait du bien. Laissez vous emportez par les rêves d’Alice et rencontrez vous aussi ce mystérieux Max.

Ma note : 7,5/10.

Merci à Camille et aux éditions Michel Lafon pour ce partenariat !

La chronique de Justine pour cette lecture commune : ICI.

lundi 23 novembre 2015

Chronique : Oniria - Livre 3 : La guerre des cauchemars de B.F. Parry


Oniria – Livre 3 : La guerre des cauchemars de B.F. Parry. (Genre : Jeunesse, Fantastique).

Editions : Hachette
Prix : 16,50€ (Partenariat)
Année de parution originale : 2015

  Résumé (SPOILERS SUR LES TOMES PRECEDENTS !) : La guerre fait rage entre le Royaume des Rêves et la Nouvelle République Cauchemar, mettant Oniria à feu et à sang. Par ricochet, l’imagination des Terriens s’en trouve tétanisée. Eliott, Katsia et leurs amis essaient tant bien que mal de mener leur mission au milieu de ce chaos. Mais mensonges et trahisons ébranlent bientôt leurs convictions les plus profondes. Le groupe des rebelles parviendra-t-il à conserver l’unité dont il a besoin pour sauver le père d’Eliott et ramener la paix à Oniria ?


  La tétralogie « Oniria » est pour moi incontournable dans la littérature jeunesse. J’avais vraiment adoré les 2 premiers tomes et j’avais hâte de m’y replonger. C’est avec une grande impatience que j’attendais de retourner dans le monde des rêves. J’étais curieux de voir comment B.F. Parry allait faire avancer son histoire. La couverture est vraiment magnifique. Plus sombre que les autres, mais c’est aussi l’histoire qui veut ça. Sans lire le résumé, je savais qu’on avait laissé dans le tome 2 nos personnages à un moment critique… qui m’avait donné le frisson. Comme avec ses prédécesseurs, « La guerre des cauchemars » m’a énormément plu !

  Au départ j’ai été déstabilisé parce que l’auteure n’engage pas son récit du point de vue d’Eliott. On va assister à un événement crucial qui va déterminer la suite de l’histoire. Ce que j’apprécie vraiment c’est que dès le début on a des rappels. Que ce soit sur les règles d’Oniria, sur qui est tel personnage ou encore sur les événements passés. Il est vrai qu’entre deux tomes on oublie parfois certaines choses. C’est donc indispensable. Après ce 1er chapitre m’ayant troublé, on retrouve Eliott et sa quête. Très vite, les choses se mettent à bouger et le livre en devient vite addictif.

  Les personnages sont toujours aussi centraux dans le récit. Et j’aime à dire que chacun apporte quelque chose à l’histoire : que ce soit Eliott, Katsia, Farjo ou Aanor. Eliott est toujours un personnage attachant par ce qu’il subit au fil de l’intrigue. Courageux, attentif, altruiste il n’hésitera pas à braver les dangers pour sauver son père et le sortir du coma. Dans ce tome je l’ai parfois trouvé très impatient, ce qui m’a assez agacé par moment. Mais un personnage parfait n’existe pas. Farjo est un personnage indispensable à la série. Son humour permet d’apaiser les tensions et de rendre l’histoire moins stressante. Relativiser pourrait être son mot d’ordre. J’admire son dévouement toujours plus grand envers Eliott. Aanor a elle été assez absente dans ce tome et c’est dommage. On la retrouve seulement à la fin. Quant à Katsia, c’est le personnage qui va le plus évoluer dans l’histoire. Elle prend conscience de certaines choses et on n’est pas toujours d’accord avec elle. Son tempérament de feu l’amènera parfois à se brûler les ailes. Mais son duo avec Eliott la rend très attachante elle aussi. Tous les personnages amènent une osmose au récit. Et avec les personnages plus secondaires et plus « méchants », on ne sait jamais sur quel pied danser. Qui croire quand tout autour de nous est en train de s’écrouler ?

  Le rythme est toujours autant infernal. Je n’ai pas vu les 278 pages passer (et c’est trop court), tellement c’était bien. Les chapitres ne sont pas très longs ce qui amène une fluidité certaine à l’histoire. Les personnages vont beaucoup bouger aussi, que ce soit dans le monde des rêves ou dans celui terrestre. On va de révélations en révélations et on est surpris par l’imagination de B.F. Parry. Elle a choisi d’utiliser une narration à la 3ème personne qui renforce ce rythme. On a le point de vue de plusieurs personnages et du coup, on veut toujours savoir ce qu’il se passe de l’autre côté. Après même si le rythme est excellent, j’ai tout de même senti que ce 3ème tome était un tome de transition. Il se passe des choses mais pas assez pour le rendre brillant. Je pense que l’auteure a voulu en garder sous le coude pour l’ultime livre.

  Que dire sur l’univers à part qu’il est toujours aussi bien. C’est toujours original, intéressant, plein de recherches et de logique. C’est un univers qui ne cesse jamais de s’étoffer, j’espère que le 4ème et dernier tome sera à la hauteur. Il y a des règles, des barrières à ne pas franchir, des us et coutumes dans ce monde si particulier. L’ambiance créée est dans ce 3ème livre plus sombre. Certains personnages font des choix qui m’ont totalement surpris et c’est tout à l’honneur de l’auteure. Il faut aussi souligner qu’on ressent bien les émotions. On stresse, on est heureux des réussites ou triste quand ça ne marche pas. On est captivé du début à la fin.

  Le style de B.F. Parry est très addictif et imaginatif. Elle décrit un monde dans lequel il est très facile de se projeter. Les descriptions ne sont pas lourdes et l’utilisation des dialogues permet de rendre l’intrigue plus fluide. C’est pour ça aussi que ça se lit trop vite. La fin m’a trop choqué. Je déteste l’auteure pour les choix qu’elle a fait. Mais c’est aussi pour ça que son roman est bon. Même si ce 3ème tome est bien, je sens qu’il n’est qu’un tremplin pour un 4ème et dernier tome qui sera (presque) parfait ! Même si la toute fin ne se termine pas sur un cliffhanger de fou, j’ai hâte de voir ce que nous réserve l’auteure. La conclusion de cette saga est à suivre !

Ma note : 8/10.

Merci à Cécile et aux éditions Hachette pour ce partenariat !

vendredi 9 octobre 2015

Chronique : Silver - Livre 1 de Kerstin Gier


Silver – Livre 1 de Kerstin Gier. (Genre : Jeunesse, Fantastique).

Editions : Milan
Prix : 15,20€ (Partenariat)
Année de parution française : 2015
Année de parution originale : 2013
Titre version originale : Silber, Band 1 : Das erste Buch der Träume.

  Résumé : Un matin de septembre, aéroport d’Heathrow. Liv, 15 ans, et sa sœur Mia débarquent de Suisse pour s’installer avec leur mère cher le nouveau compagnon de celle-ci. Grayson est son fils. Très vite, Liv comprend que le jeune homme cache un secret. Un secret qui dépasse tout ce qu’elle imaginait. Quand le rêve se mêle à la réalité…


  LIVRE COUP DE CŒUR ! Kerstin Gier est l’auteure de la trilogie « Rouge Rubis » que j’ai lue il y a quelques mois. Elle revient ici avec une nouvelle trilogie et surtout un nouvel univers. Franchement quand ce livre a été proposé, je ne savais pas de quoi ça parlait… mais comme j’avais bien aimé « Rouge Rubis », je me suis dit qu’il fallait tenter. Après, la couverture n’est pas tip top. Encore des personnages alors que celle en VO ou en anglais avaient des aspirations différentes et bien plus jolies. Je me suis lancé dans la lecture, sans trop savoir dans quoi j’allais embarquer. Et au final j’ai adoré ! Du début à la fin !!

  Dés le début je savais que j’allais adorer. On rencontre Olivia (déjà j’adore ce prénom), qui déménage avec sa sœur Mia en Angleterre, pour rejoindre sa mère et son nouveau compagnon. Les deux sœurs ont l’habitude des déménagements et s’adapter à un nouvel endroit ne leur fait pas peur. L’auteure va poser doucement ses bases. Va nous faire rencontrer Grayson et Florence, les beau/belle-frère/sœur d’Olivia. Mais ce n’est pas une présentation banale. On sent dès le départ qu’il y a quelque chose qui cloche. Et puis Kerstin Gier fait le tout dans l’humour. Je peux vous dire que j’ai eu des tonnes de fou rire pendant ma lecture. C’est ce qui l’a rendu plus intéressante et addictive.

  Les personnages sont vraiment tops ! Olivia dit Liv, est un personnage auquel je me suis fortement attaché. C’est une fille aimant sa petite sœur Mia, qui prend sur elle quand on l’embête. Elle est altruiste et n’hésite pas à dire les choses… même subtilement. Ce que j’ai vraiment aimé chez elle c’est son côté fouine, un peu comme une petite détective. Dès qu’elle va savoir qu’il y a un secret, sa curiosité va l’emporter sur sa raison. L’histoire est d’autant plus passionnante ! Franchement Olivia est en plus intelligente et se pose beaucoup de questions pour comprendre ce qui cloche… génial ! J’ai eu un coup de cœur pour le personnage de Mia, sa petite sœur. C’est elle qui apporte tout l’humour dans le récit. Ce qu’elle a pu me faire rire par ses répliques cinglantes et bien placées. Quand on n’est pas dans l’univers de Kerstin Gier, c’est elle qui donne le ton de la vie quotidienne par son humour et sa joie de vivre. Il y a enfin les quatre garçons qu’Olivia va rencontrer au lycée : Arthur, Henry, Grayson et Jasper. Je crois que je n’en dirai pas plus. Vous devez les découvrir par vous-mêmes. Essayez de percer leurs secrets tout comme Olivia…

  Le rythme est juste infernal. Ce mélange de vie quotidienne et de rêves est très bien agencé. Et puis petit à petit l’auteure insert des petits indices sur l’éventuel secret. Ils sont disséminés par-ci par-là et grâce à la fouine Olivia on veut en apprendre toujours plus. De telle sorte que quand j’avais une question, son personnage posait la même. Et puis je ne sais pas, c’est une histoire addictive, qui coule de source et on avale le livre sans s’en rendre compte. Tout ce mystère, le côté angoissant des rêves, le fait qu’on se sente épié et sur ses gardes c’est juste ouffissime !

  L’univers est très bien pensé et personnellement tout ce qui est attrait aux rêves j’adore. Ici, l’auteure a une écriture qui permet au lecteur de s’imaginer parfaitement ce que rêve Olivia. De telle sorte qu’on croirait les rêves devenir réalité. Kerstin Gier a très bien conçu son univers. Elle y a construit des règles, des interdits, des manières d’agir et j’ai juste était fasciné par ça. On y trouve aussi bien le côté sombre que le côté plus joyeux. Et puis à travers son univers, l’auteure construit une intrigue qui m’a vraiment surpris ! Comme quoi une bande de bons copains peut parfois cacher un… voir plusieurs secrets. Après, je n’ai pas toutes les réponses à mes questions, c’est pour ça que je ne mettrai pas la note maximale. Mais cette initiation est juste dingue et j’ai hâte d’en apprendre plus dans le tome 2.

  Le style de l’auteure est vraiment addictif. Son style permet au lecteur de s’immerger totalement dans l’histoire. D’être vraiment épris des personnages et de ce qu’ils sont. De vouloir toujours en connaître plus et cet humour présent permet de rendre l’histoire un peu plus légère. Du coup ça passe mieux et ce contraste entre rêves et réalité fait qu’on veut toujours être de tel ou tel côté. Et puis cette fin ! Non mais une fin de dingue, qui m’a vraiment surpris. Et puis la toute dernière phrase m’a donné le frisson. Et quand un livre arrive à me tirer le frisson… c’est qu’il est excellent ! Voilà, je ne peux que vous recommander le 1er tome de « Silver ». C’est une histoire à découvrir, une histoire à déguster, une histoire à rêver. (D’ailleurs à cause de ce livre j’ai fait un cauchemar cette nuit ^^)

Ma note : 9/10.

Merci à Elodie et aux éditions Milan pour ce partenariat !

vendredi 15 mai 2015

Chronique : Oniria - Livre 2 : Le disparu d'Oza-Gora de B.F. Parry


Oniria – Livre 2 : Le disparu d’Oza-Gora de B.F. Parry. (Genre : Jeunesse, Fantastique).

Editions : Hachette
Prix : 16,50€ (Partenariat)
Année de parution originale : 2015 (Sortie le 1er avril)

  .Résumé : Eliott, accompagné de ses fidèles amis Farjo et Katsia, a atteint le merveilleux royaume d’Oza-Gora, où il va enfin pouvoir rencontrer le Marchand de Sable. Ce dernier est en effet le seul qui puisse libérer le père d’Eliott du songe mortel dont il est prisonnier depuis des mois.


  .L’univers d’ « Oniria » m’avait totalement séduit dans le premier tome. Des rêves, des cauchemars, un monde imaginaire où les humains se rendent lorsqu’ils s’endorment. J’avais hâte de lire ce deuxième opus pour en apprendre plus sur la quête d’Eliott. Autant vous dire que la couverture est toujours sublime. Un très beau travail a été effectué et elle ne manquera pas d’attirer ! Le résumé que je vous ai délivré a été raccourci volontairement, j’ai trouvé que la 4ème en dévoilait trop. Même si le livre souffre de bémols mineurs, j’ai passé un excellent moment de lecture.

  .Au début, j’ai eu un peu de mal à me replonger dans ce monde onirique. J’avais quelques trous de mémoires temporaires. Je n’arrivais pas à retrouver ce qui m’avait tant passionné dans le tome 1. Il a fallu cependant que je m’y mette vraiment pour dévorer ce bouquin. Après les 60 premières pages, j’ai réussi à m’immiscer dans l’histoire et à y rester. Pour devenir complètement accro à ce deuxième tome. Et franchement, je trouve qu’on apprend beaucoup de choses.

  .Eliott m’a encore beaucoup plu dans cette histoire. Il a à peine 11 ans mais qu’est-ce qu’il est mature pour un gamin. Je vous jure qu’il y a parfois des personnages de 17-18 ans qui sont moins mature que lui. Je l’ai trouvé très timoré dans ses fonctions. D’un côté il a envie d’aider son père, la princesse Aanor et le monde d’Oniria. Mais de l’autre, il se sent mal à l’aise de mentir à ses sœurs jumelles. C’est un jeune homme qui arrive à garder les pieds sur terre malgré ce monde complexe et incroyable. B.F. Parry réussi à nous le rendre attachant. Vient ensuite Farjo et Katsia, la princesse Aanor, Mamilou ou encore Jov’. Chacun amène sa petite pierre à l’édifice, chacun fait confiance à Eliott. Les personnages sont un tout dans cette série. Un tout bien mené et ficelé pour que l’intrigue ne puisse pas s’essouffler.

  .Comme je le disais plus haut, les 60 premières pages m’ont paru lentes, mais il fallait que je me réhabitue à l’univers. Il faut dire aussi que les chapitres au début sont assez longs. Et puis je ne sais pas, les chapitres sont devenus un peu plus court, l’histoire plus passionnante. On apprend véritablement un paquet de choses au court de l’intrigue. Les révélations vont bon train et on est sincèrement avide de curiosité. On veut savoir avec précision comment se passe telle ou telle chose. Pourquoi untel pense ça ou pourquoi il agit comme cela. L’aventure fait véritablement partie de l’histoire.

  .L’univers est ce qui m’a le plus plu. Déjà, on apprend à connaître le monde d’Oza-Gora qu’on ne connaissait pas encore. J’ai adoré découvrir comment les humains s’endormaient et surtout grâce à quoi. J’ai adoré l’apparition du Marchand de Sable. Surtout, j’ai aimé de tout mon cœur en apprendre plus sur les capacités d’Eliott. Je crois que la petite séance entraînement avec une certaine personne m’a permis de me mettre à sa place. L’auteure alterne aussi les points de vue dans cet univers. Ainsi sa plume à la troisième personne amène une véritable richesse au récit. Aucun personnage n’est mis sur la touche.

  .Ce que je pourrais reprocher à l’auteure, c’est qu’on n’avance pas des masses dans l’histoire. Si je ne dis pas de bêtises, 4 tomes sont prévus. Et ce tome 2 est un tome de transition. On fait des découvertes, on avance dans l’intrigue mais pas assez à mon goût. Le point intéressant c’est qu’on est dans l’aventure avec nos héros. Ils ne cessent de bouger et de découvrir des faits importants pour leur quête. Beaucoup d’actions au cœur du roman. J’ai véritablement était stressé avec eux, content, déçu. J’ai même réussi à avoir les frissons plusieurs fois tellement j’ai été happé par l’histoire.

  .La plume de B.F. Parry n’est pas exceptionnelle mais elle a le mérite de nous permettre d’imaginer les lieux créés. Et puis les images au cœur du bouquin permettent au lecteur de s’imaginer plus facilement l’univers incroyable. Et franchement chapeau pour ça, parce que pour s’y retrouver… ça ne doit pas être simple. La fin m’a beaucoup plu et j’ai hâte de découvrir la suite qui s’annonce pleine d’actions. Si vous n’avez pas encore découvert cette série foncez ! Un univers incroyablement riche, des personnages attachants. De l’action, des révélations et une intrigue qui permet au lecteur d’être pris dans l’histoire sans en décrocher.

.Ma note : 8/10.

Merci à Betty et aux éditions Hachette pour ce partenariat !

mardi 4 novembre 2014

Chronique : Oniria - Livre 1 : Le Royaume des Rêves de B.F. Parry


Oniria – Livre 1 : Le Royaume des Rêves de B.F. Parry. (Genre : Jeunesse, Fantastique).

Editions : Hachette
Prix : 16,50€ (Partenariat)
Année de parution originale : 2014 (Sortie le 1er octobre)

  .Résumé : Il existe un monde dont personne ne soupçonne l’existence. Un pays où chacun de nous se rend pourtant chaque nuit. Un univers où tout est possible. Oniria, le Royaume des Rêves. Seul un Envoyé venu de monde des humains peut sauver Oniria des troubles qui le menacent. Il s’appelle Eliott. Et il a douze ans.


  .L’attachée de presse des éditions Hachette, m’a tellement bien vendu ce roman que j’ai été très curieux de le découvrir. Je dois avouer que j’avais des réserves sur le côté jeunesse. Mais Matéïa m’a assuré que ce côté était en retrait. J’ai donc accepté ce partenariat avec entrain. La couverture est très jolie et elle reflète bien le monde dans lequel on va être plongé. Sans avoir vraiment lu le résumé, je savais que ça parlait de rêves et de cauchemars… il n’en fallait pas plus pour me convaincre ! Au final, j’ai passé un excellent moment de lecture.

  .Le prologue m’a de suite rendu curieux. On nous présente Eliott avec sa grand-mère Louise, qui nous dit qu’elle va poursuivre l’initiation de son petit fils. L’auteure nous dépeint un tableau familial assez cliché au final, mais qui se révèlera intéressant par la suite. Dès le premier chapitre, j’ai été pris dans le récit parce qu’il se passe des choses assez étranges avec Eliott. Et puis, j’avais hâte de découvrir « Oniria ». B.F. Parry a je pense, très bien débuté son roman parce qu’on tourne les pages avec envie.

  .Les personnages centraux sont très attachants. Eliott, qui a douze ans, se révèlera être un petit garçon mature. Il est courageux, franc et un poil rebelle mais il sait ce que sont les priorités dans la vie. Eliott est un personnage qu’on prend plaisir à suivre parce qu’on se pose beaucoup de questions sur lui. Ensuite vient Mamilou ou Louise, qui est la grand-mère d’Eliott. Cette femme est très mignonne en ce sens qu’on sent l’amour qu’elle porte à son petit fils. On la sent engager à ses côtés et c’est très touchant. A « Oniria » on va rencontrer Aanor, la princesse du royaume et puis Katsia et Farjo qui se révèleront être des personnages importants au fil du récit. Le fait est que l’auteure travaille bien ses personnages et on sent une évolution dans leur psychologie au fil de l’histoire.

  .Le rythme du récit est excellent malgré des chapitres tout de même assez longs. Je pense que l’auteure a très bien su manier le côté narratif/descriptif et les dialogues. Cela amène un côté prenant à l’histoire. Il faut aussi noter que les personnages bougent aussi beaucoup. Eliott va sans cesse être amené à se rendre à « Oninira », puis à revenir dans la réalité etc. Le fait aussi que sa mission ait une date butoir amène un versant intéressant au récit. Notre curiosité est mise à rude épreuve et je ne peux que féliciter l’auteure pour ça.

  .En ce qui concerne son univers, je dois dire que je suis admiratif de ce que B.F. Parry a imaginé. On pourrait se dire que parler du monde des rêves et des cauchemars est facile, mais l’auteure nous démontre que non. La création de son monde fait penser à de la fantasy. Non seulement, elle a apporté des décors incroyables à « Oniria » mais en plus elle a créé des règles, des interdits, une prophétie. C’est un univers très poussé et travaillé pour un premier tome. Ce que j’ai adoré c’est qu’on ne soit pas noyé par les informations qu’on ingurgite. Le côté enfantin d’Eliott ressort lors de son apprentissage des règles et c’est comme si on se mettait à sa place. Lorsqu’on en a potentiellement oublié une, un personnage est là pour nous la rappeler. Ainsi, on enregistre mieux les us et coutumes.

  .Les quelques points qui m’ont dérangé sont les suivants. D’une part, j’ai eu l’impression que la fin de ce tome 1 nous laissait dans l’expectative. C'est-à-dire qu’il n’y a pas un cycle achevé, une mission réussie. J’aurai pensé que le tome 1 serait seulement centré sur l’histoire familiale. C’est comme si l’auteure nous laissait là, sans faire un point vraiment globale. Ensuite, j’ai trouvé qu’Eliott arrivait trop facilement à se servir de ses capacités. Et je l’ai trouvé par la même occasion trop chanceux. Enfin, je pense qu’à ce stade de l’histoire, l’auteure va avoir du mal à jongler entre vie réelle et vie à « Oniria » et j’attends donc qu’elle me surprenne avec son univers.

  .Pour finir, la plume de l’auteure est vraiment addictive. Son roman se lit d’une traite, sans qu’on puisse s’arrêter… c’est un véritable page-turner. Ce n’est pas une plume travaillée, mais pour un livre jeunesse, elle reste efficace et donne envie de poursuivre la lecture. Comme je l’ai dit précédemment, la fin m’a laissé perplexe parce que j’aurai aimé 50 pages en plus pour qu’on nous dépeigne au moins le nouveau décor. Mais c’est un fin qui donne envie de connaître la suite ! Je la lirai avec grand plaisir parce que je suis convaincu que l’auteure va me surprendre.

.Ma note : 8/10

Merci à Matéïa et aux éditions Hachette pour ce partenariat !


Pour lire un extrait d’ « Oniria », cliquez sur l’image en dessous :