Nos dernières chroniques...

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vendredi 9 octobre 2015

Chronique : Silver - Livre 1 de Kerstin Gier


Silver – Livre 1 de Kerstin Gier. (Genre : Jeunesse, Fantastique).

Editions : Milan
Prix : 15,20€ (Partenariat)
Année de parution française : 2015
Année de parution originale : 2013
Titre version originale : Silber, Band 1 : Das erste Buch der Träume.

  Résumé : Un matin de septembre, aéroport d’Heathrow. Liv, 15 ans, et sa sœur Mia débarquent de Suisse pour s’installer avec leur mère cher le nouveau compagnon de celle-ci. Grayson est son fils. Très vite, Liv comprend que le jeune homme cache un secret. Un secret qui dépasse tout ce qu’elle imaginait. Quand le rêve se mêle à la réalité…


  LIVRE COUP DE CŒUR ! Kerstin Gier est l’auteure de la trilogie « Rouge Rubis » que j’ai lue il y a quelques mois. Elle revient ici avec une nouvelle trilogie et surtout un nouvel univers. Franchement quand ce livre a été proposé, je ne savais pas de quoi ça parlait… mais comme j’avais bien aimé « Rouge Rubis », je me suis dit qu’il fallait tenter. Après, la couverture n’est pas tip top. Encore des personnages alors que celle en VO ou en anglais avaient des aspirations différentes et bien plus jolies. Je me suis lancé dans la lecture, sans trop savoir dans quoi j’allais embarquer. Et au final j’ai adoré ! Du début à la fin !!

  Dés le début je savais que j’allais adorer. On rencontre Olivia (déjà j’adore ce prénom), qui déménage avec sa sœur Mia en Angleterre, pour rejoindre sa mère et son nouveau compagnon. Les deux sœurs ont l’habitude des déménagements et s’adapter à un nouvel endroit ne leur fait pas peur. L’auteure va poser doucement ses bases. Va nous faire rencontrer Grayson et Florence, les beau/belle-frère/sœur d’Olivia. Mais ce n’est pas une présentation banale. On sent dès le départ qu’il y a quelque chose qui cloche. Et puis Kerstin Gier fait le tout dans l’humour. Je peux vous dire que j’ai eu des tonnes de fou rire pendant ma lecture. C’est ce qui l’a rendu plus intéressante et addictive.

  Les personnages sont vraiment tops ! Olivia dit Liv, est un personnage auquel je me suis fortement attaché. C’est une fille aimant sa petite sœur Mia, qui prend sur elle quand on l’embête. Elle est altruiste et n’hésite pas à dire les choses… même subtilement. Ce que j’ai vraiment aimé chez elle c’est son côté fouine, un peu comme une petite détective. Dès qu’elle va savoir qu’il y a un secret, sa curiosité va l’emporter sur sa raison. L’histoire est d’autant plus passionnante ! Franchement Olivia est en plus intelligente et se pose beaucoup de questions pour comprendre ce qui cloche… génial ! J’ai eu un coup de cœur pour le personnage de Mia, sa petite sœur. C’est elle qui apporte tout l’humour dans le récit. Ce qu’elle a pu me faire rire par ses répliques cinglantes et bien placées. Quand on n’est pas dans l’univers de Kerstin Gier, c’est elle qui donne le ton de la vie quotidienne par son humour et sa joie de vivre. Il y a enfin les quatre garçons qu’Olivia va rencontrer au lycée : Arthur, Henry, Grayson et Jasper. Je crois que je n’en dirai pas plus. Vous devez les découvrir par vous-mêmes. Essayez de percer leurs secrets tout comme Olivia…

  Le rythme est juste infernal. Ce mélange de vie quotidienne et de rêves est très bien agencé. Et puis petit à petit l’auteure insert des petits indices sur l’éventuel secret. Ils sont disséminés par-ci par-là et grâce à la fouine Olivia on veut en apprendre toujours plus. De telle sorte que quand j’avais une question, son personnage posait la même. Et puis je ne sais pas, c’est une histoire addictive, qui coule de source et on avale le livre sans s’en rendre compte. Tout ce mystère, le côté angoissant des rêves, le fait qu’on se sente épié et sur ses gardes c’est juste ouffissime !

  L’univers est très bien pensé et personnellement tout ce qui est attrait aux rêves j’adore. Ici, l’auteure a une écriture qui permet au lecteur de s’imaginer parfaitement ce que rêve Olivia. De telle sorte qu’on croirait les rêves devenir réalité. Kerstin Gier a très bien conçu son univers. Elle y a construit des règles, des interdits, des manières d’agir et j’ai juste était fasciné par ça. On y trouve aussi bien le côté sombre que le côté plus joyeux. Et puis à travers son univers, l’auteure construit une intrigue qui m’a vraiment surpris ! Comme quoi une bande de bons copains peut parfois cacher un… voir plusieurs secrets. Après, je n’ai pas toutes les réponses à mes questions, c’est pour ça que je ne mettrai pas la note maximale. Mais cette initiation est juste dingue et j’ai hâte d’en apprendre plus dans le tome 2.

  Le style de l’auteure est vraiment addictif. Son style permet au lecteur de s’immerger totalement dans l’histoire. D’être vraiment épris des personnages et de ce qu’ils sont. De vouloir toujours en connaître plus et cet humour présent permet de rendre l’histoire un peu plus légère. Du coup ça passe mieux et ce contraste entre rêves et réalité fait qu’on veut toujours être de tel ou tel côté. Et puis cette fin ! Non mais une fin de dingue, qui m’a vraiment surpris. Et puis la toute dernière phrase m’a donné le frisson. Et quand un livre arrive à me tirer le frisson… c’est qu’il est excellent ! Voilà, je ne peux que vous recommander le 1er tome de « Silver ». C’est une histoire à découvrir, une histoire à déguster, une histoire à rêver. (D’ailleurs à cause de ce livre j’ai fait un cauchemar cette nuit ^^)

Ma note : 9/10.

Merci à Elodie et aux éditions Milan pour ce partenariat !

jeudi 8 octobre 2015

Chronique : Bluebird de Tristan Koëgel


Bluebird de Tristan Koëgel. (Genre : Jeunesse, Historique).

Editions : Didier Jeunesse
Prix : 14,20€ (Partenariat)
Année de parution originale : 2015

  Résumé : Minnie est la fille d’un musicien qui chante le blues sur les routes du Mississipi. Elwyn est le fils d’un Irlandais, le contremaître d’une immense plantation. Quand ces deux là se rencontrent, ils tombent amoureux. Mais dans l’Amérique des années 1940, en pleine ségrégation, qui oserait croire que leur histoire est possible ?


  Je tiens tout d’abord à remercier Nathan qui a travaillé pour la maison d’édition Didier Jeunesse. Je pense que sans lui, je n’aurai pas pu lire « Bluebird ». Il m’a bien vendu le livre de telle sorte qu’il m’était impossible de ne pas accepter de lire cette histoire. Et puis il faut avouer que la couverture est juste magnifique. Une couverture à rabat joliment faite et bien pensée ! C’est du high level pour le petit prix du roman ! Au final, même si l’histoire a pris pour moi un virage inattendu, j’ai passé une bonne lecture !

  Dès le début on sent bien que l’auteur amène une ambiance particulière. Une ambiance, une atmosphère qui va coller tout au long du roman. Au départ on rencontre Minnie, une jeune fille musicienne avec son papa sur les routes du Mississipi. On va les suivre jusqu’à ce qu’ils arrivent sur une plantation de coton où règne la terreur. L’histoire se passe dans les années 40 et on est en pleine ségrégation. Minnie et son papa sont noirs, ils vont trouver refuge chez Papy, un ouvrier de la plantation. Mais la jeune fille va être étrangement attirée par Elwyn, le fils du contremaître irlandais. Une fille noire, un garçon blanc et une amitié naissante.

  Dans le récit, on va avoir le point de vue de plusieurs personnages : Minnie, Nashoba et Elwyn. Minnie est une enfant passionnée de musique. Elle aime le blues, elle aimerait faire des disques, mais la société l’en empêche à cause de sa couleur de peau. Elle aime son père plus que tout et c’est ce qui la rend touchante. Durant le roman elle va grandir, faire des rencontres intéressantes et réfléchir sur sa vie. Elle permet au lecteur de croire en l’espoir d’un avenir plus grand. Nashoba est lui un jeune homme d’une vingtaine d’année. Sa mère a prié les parents d’Elwyn de le recueillir pour lui éviter la guerre. C’est un personnage qui va beaucoup souffrir. Le chef de la plantation va lui en faire voir de toutes les couleurs, jusqu’à le traiter en esclave. Nashoba est intéressant par sa force de caractère et par son mental d’acier. A travers ses yeux on comprend que la famille d’Elwyn n’est pas aussi méchante derrière les apparences. Enfin Elwyn, est un jeune garçon qui suit ses parents lorsqu’ils s’installent dans la plantation. Il va lui aussi évoluer et grandir. Elwyn est un personnage intelligent, qui fait des sacrifices pour ses parents. Il n’hésitera pas à entrer dans leur jeu pour leur sauver la mise. Des personnages intéressants et bien construits pour rendre l’histoire envoutante.

  Le rythme est assez bon. Les différentes parties de différents points de vue apportent une fluidité au roman. Au cours de ce récit, les personnages bougent assez, ils rentrent souvent en conflit. L’auteur arrive à nous faire partager leurs émotions. On se prend à être anxieux, à en détester certains, à stresser avec eux. Ainsi, on avale les pages sans s’en rendre compte. Le rythme est aussi renforcer par la découverte d’un pays ségrégationniste envers les noirs. On découvre la violence, le mal à l’état pur, les tourments psychologiques qu’on peut infliger… Mais on se prend aussi à espérer parce que tous les blancs n’agissent pas de la même façon et ne pense pas de la même manière. C’est une chose importante à retenir. Ne pas mettre tout le monde dans le même sac. Il faut apprendre à les connaître, à creuser derrière la couleur de peau. Peut-être nous apprendront-ils des choses ou peut-être que ce sera l’inverse. Mais l’habit ne fait pas le moine comme on dit. L’authenticité de ce récit historique est le gros point fort du livre.

  Ce que je regrette cependant c’est que l’histoire a pris une tournure à laquelle je ne pensais pas. Avant de lire le livre, je pensais qu’il y aurait vraiment une histoire d’amour entre Elwyn et Minnie. Mais j’ai vite déchanté par la réalité de l’intrigue narrée. C’est en parti pour cela que le roman n’a pas été à la hauteur de ce que j’attendais. La romance promise est traitée en fond et j’aurai aimé qu’elle intervienne au premier plan. C’est dommage pour moi mais tout ce qui gravite autour de l’histoire reste passionnant. Malgré la violence, l’auteur imagine un monde meilleur. Un monde fait de remises en question et d’espoir que Minnie interprète parfaitement. Son évolution, son ascension est vraiment révélatrice d’une société qui a évolué.

  La plume de l’auteur est intéressante par l’atmosphère qu’il crée et par l’authenticité du récit dégagé. On arrive très facilement à s’immerger dans cette histoire. Il y a beaucoup de phrases touchantes et intéressantes. Qu’elles soient liées à la musique, à la société, à la hiérarchie ou encore à la vie tout simplement. La fin m’a beaucoup plu en sachant par quoi les personnages étaient passés tout au long du récit. C’est comme si on avait fait le tour et qu’on revenait au début avec toutes les améliorations acquises. Si vous aimez les romans historiques, les personnages attachants et les histoires fortes… « Bluebird » est fait pour vous !

Ma note : 7,5/10.

Merci à Nathan et aux éditions Didier Jeunesse pour ce partenariat !

*Vidéo* : FAQ : Ma vie, mes amours, mes emmerdes...


Coucou la compagnie livresque,

Aujourd'hui, je reviens avec une vidéo un peu particulière puisqu'il s'agit d'une des trois vidéos de la "Foire aux questions" ! Pour celle-ci, je vous livre ma vie personnelle sur un plateau d'argent :) J'aborde avec vous mon parcours scolaire, mes autres passions autre que la littérature, mon métier, ma future indépendance, mes amours etc... J'espère que la vidéo vous plaira et que vous aurez toutes les réponses me concernant ! Bon visionnage :)

Enjoy <3

Merci à toutes les personnes ayant posé des questions ! :D

mardi 6 octobre 2015

Tentez de remporter un exemplaire du livre "PROJET ADAM" ! (TERMINE !)

Bonjour les amis !

Aujourd'hui je reviens avec un nouveau concours puisque j'ai dû fermer l'ancien... Bref n'en parlons plus !! Je vous propose de gagner d'aujourd'hui (6 octobre) jusqu'à dimanche soir (11 octobre) un exemplaire du livre "Projet Adam" de Michael Grant et Katherine Applegate :D Michael Grant est notamment connu pour avoir écrit la série "Gone" !


C'est un livre avec lequel j'avais passé un bon moment, vous avez de toute façon ma chronique dans le formulaire d'inscription si vous voulez aller la regarder ! ;) Le concours n'est en aucun cas sponsorisé par la maison d'édition et il est ouvert SEULEMENT à la BELGIQUE et à la FRANCE ! Désolé pour les autres mais mes finances ne permettent pas d'envoyer à l'international :/ Sachez que d'autres concours se préparent et ceux là seront sûrement ouvert à d'autres pays :D

Merci à tous ceux qui participeront !

Pour les curieux voilà le formulaire :

dimanche 4 octobre 2015

*Vidéo* : In My Mailbox #30


Salut la compagnie !

Aujourd'hui je vous retrouve avec les réceptions que j'ai eu durant le mois de septembre :D J'ai reçu des livres mais je n'en ai pas acheté ! *Mode fier activé !* J'espère que ces réceptions vous feront envie ;) Sachez que la plupart des livres sont déjà lu... au moins 3 du moins ^^ Je vous souhaite une bon visionnage !!

Enjoy <3

Les livres reçus durant le mois de septembre :
    
     

Chronique : L'infini + un d'Amy Harmon


L’infini + un d’Amy Harmon. (Genre : Contemporain).

Editions : Robert Laffont
Prix : 17,90€ (Partenariat)
Année de parution française : 2015
Année de parution originale : 2014
Titre version originale : Infinity + One.

  Résumé : Bonnie Rae Shelby, superstar mondiale, a tout pour elle : l’argent, la beauté, la gloire et… l’envie d’en finir avec la vie.
Finn Clyde, lui, n’est rien et ne possède rien, à part son intelligence et son cynisme à toute épreuve. La seule chose qu’il demande : qu’on lui donne enfin sa chance.
Une main tendue et quelques coïncidences plus loin, et les voilà engagés dans un périple qui pourrait les transformer aussi bien que les anéantir.


  Après mon énorme coup de cœur pour « Nos faces cachées », je me devais de lire le nouveau roman d’Amy Harmon. Je voulais voir si l’essai était transformé ou si elle avait simplement eu de la chance avec son histoire. Tout comme la couverture en VO, celle en VF est magnifique et surtout identique. La collection R a l’habitude de se démarquer au niveau du visuel de ses livres. C’est encore une fois réussi. Pour le résumé, je ne l’avais pas lu… mais je savais que ça parlait de mathématiques et d’une jeune fille superstar. Même si « L’infini + un » n’a pas été un coup de cœur comme son prédécesseur, j’ai adoré ma lecture ! L’essai a donc été transformé avec brio.

 Amy Harmon ne perd pas de temps avec les fioritures. Dès le prologue, j’ai été intrigué par l’histoire de ces fugitifs. Je me suis demandé s’ils copiaient l’histoire des vrais Bonnie et Clyde. Ou si seulement par hasard, leur histoire avait pris l’allure du célèbre couple. Et puis j’ai commencé le chapitre 1… j’ai découvert une jeune fille troublée, tourmentée et prête à mettre fin à ses jours. L’auteure est directement entrée dans le vif du sujet. Les questions ont fusé dans ma tête et du coup, on lit sans s’en rendre compte. Bonnie va faire la rencontre de Finn et tout va changer.

  Bonnie et Finn sont les personnages centraux du récit. D’un premier abord, on pourrait croire que tous les opposent. Que ce soit au niveau du caractère, de la façon de penser, d’agir ou de voir les choses. Bonnie, c’est la jeune femme qui cache son mal-être derrière un côté fofolle et un peu naïve. Une fille qui est prête à aider son prochain même si elle ne le connaît pas. Parfois bavarde outrancièrement, elle peut aussi être dans ses pensées pendant des heures. Finn a eu beaucoup de mal avec elle… et ça peut se comprendre. Finn quant à lui est plus réfléchi que Bonnie. Il raisonne de manière logique et pragmatique pour éviter les ennuis… ce que Bonnie a du mal à faire. Leur ressemblance n’est pas physique ou même psychologique, elle l’est sur leur vécu, sur leur histoire, leur passé et par rapport à leur famille respective. Chacun cache un mal-être, un malaise par ce qu’il a vécu. Une envie d’extérioriser sans pouvoir y arriver, une envie de lâcher prise et de profiter, une envie d’être et de se sentir vivant. Ce qui est impossible tout seul, sera possible à deux. L’auteure a véritablement bien construit ses personnages. Leur passé, les événements qui les ont troublés et perturbés. Elle les rend terriblement attachants et avec eux on rigole, on est triste, on espère et nos cœurs palpitent. Par contre Gran est une vraie pourriture, je n’en dis pas plus !

  Le rythme est bon malgré quelques longueurs par-ci par là. Et je pense que ce sera le défaut majeur de ce bouquin. Ce road-trip à travers les Etats-Unis est vraiment intéressant parce qu’il permet aux personnages de se chercher et de se connaître. Mais parfois, j’avais envie que ça avance plus vite, qu’on s’attarde moins sur des détails. Les chapitres ne sont pas énormes, il y a des séparations avec des sigles « infini » pour savoir qu’on change de point de vue (même si on reste à la narration à la 3ème personne). Cette alternance amène un petit plus au récit non négligeable. Et puis le fait que Bonnie et Finn bougent à travers les USA, qu’ils rencontrent des gens au hasard. Ça dynamise le récit. Et puis on se demande s’ils vont se faire rattraper parce ce qu’ils ont entrepris.

  J’en viens au point essentiel de ce bouquin : l’histoire d’amour entre Bonnie Rae Shelby (j’adore prononcer ce nom ^^) et Finn Clyde. Amy Harmon ne fait pas dans la dentelle. Au départ, c’est simple, ils se détestent. Chacun pense qu’il sera débarrassé de l’autre au prochain carrefour. Mais petit à petit, l’auteur dévoile ses personnages (qu’elle connaît d’ailleurs à la perfection). Elle nous montre leurs blessures, leurs histoires qui font étrangement échos. Et puis… l’histoire d’amour commence. Chacun trouve en l’autre cette petite étincelle qui le rend plus vivant. Ce petit espoir qui permettra d’avancer. Amy Harmon arrive parfaitement à lier les mathématiques et la chanson. Cette fusion des genres est juste incroyable. On sent le travail de recherche, on sent l’implication. Mon petit cœur a vibré avec eux et c’était juste trop bien.

  La plume de l’auteure est terriblement addictive. Elle a comme un goût de reviens-y. Des petites phrases, des petits mots qui font toute la différence. Dans certaines situations Amy Harmon sait trouver les mots justes. Ce que je lui reprocherai cependant c’est que vers le milieu du roman, ça manquait d’intensité et j’avais envie d’avancer plus vite. Je pense que c’est pour ça que ce n’est pas un coup de cœur. La fin m’a beaucoup plu ! C’est comme si tout ce hasard, ces histoires entremêlées avaient forgé leur véritable histoire. J’ai deux questions à vous poser : croyez-vous que les mathématiques pourraient vous sauver la vie ? / Combien font « l’infini + un » ? Vous trouverez vos réponses en lisant ce bouquin, que je vous recommande fortement !

Ma note : 8,5/10.

Merci à Quentin et à la Collection R pour ce partenariat !